Julie Brill, Corporate Vice President and Deputy General Counsel de Microsoft, a annoncé le 21 mai 2018 que tous les clients de l’entreprise dans le monde, et pas seulement en Europe, bénéficieront des droits prévus par le Règlement européen sur la protection des données personnelles (RGPD).
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Les 25 et 26 avril 2018 se sont déroulées les Assises de l’identité numérique conjointement organisées par le ministère de l’intérieur, le ministère de la justice et le secrétariat d’Etat chargé du numérique. Il s’agissait, selon les termes du dossier de presse, de lancer « les travaux de co-construction et de déploiement d’un parcours d’identification numérique devant être effectifs pour la rentrée 2019. » Les futures solutions auront vocation à s’inscrire dans le dispositif France Connect et son écosystème.
Par acte sous seing privé signé le 18 mai 2018, les sociétés Cecurity Services et Cecurity Fidelis ont conclu un projet de traité de fusion par absorption de la société Cecurity Fidelis par la société Cecurity Services.
Le 14/05/2018 – Les actionnaires de Cecurity.com sont convoqués en Assemblée générale ordinaire annuelle le 29 juin 2018 à 10h00 au siège de la société 75 rue Saint-Lazare 75009 Paris.
La dématérialisation et le zéro papier étaient au programme de la conférence plénière de Documation 2018 au cours de laquelle est intervenu Alain Borghesi, Pdg de Cecurity.com, en tant que vice-président de la Fédération des Tiers de Confiance du Numérique (FNTC).
Dans le cadre de l’exercice du droit au déréferencement, consacré par l’arrêt Google Spain de la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) de mai 2014, Google a reçu pour la France plus de 140 000 demandes. Ces demandes ont été validée dans près de la moitié des cas (48,5 %).
« Officiellement créé par un arrêté d’août 2015 et inauguré en juin 2016, FranceConnect vise à proposer un accès universel aux services publics en ligne, évitant aux usagers de créer un compte à chaque nouvelle administration sollicitée » rappelle Clément Bohic dans Silicon. Depuis le 1er Comité interministériel de la transformation publique du 1er février 2018, le projet semble passer à la vitesse supérieure.
Les blockchains publiques – Bitcoin ou Ethereum – peuvent-elles prétendre à la conformité avec le nouveau règlement européen sur la protection des données personnelles (RGPD) ? Ces dispositifs présentent des potentialités intéressantes au niveau de la privacy tels que le recours par défaut aux pseudonymes ou encore la possibilité théorique de conserver les preuves des consentements. Il n’en reste pas moins qu’il est à la fois impossible de déterminer un responsable de traitement et de garantir une conservation des données limitée dans le temps. Verdict : la blockchain publique n’est pour l’instant pas compatible avec le RGPD.