Mutation de la confiance numérique avec la blockchain, Dématérialisation des bulletins de paie et des documents RH, Les nouvelles normes et certifications de la confiance numérique : les experts, partenaires ou clients de Cecurity.com, ont été à l’honneur lors des tables-rondes de l’évènement Tech Vill@ge du 14 septembre 2017.
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L’article d’Hubert Guillaud dans Internet Actu consacré à la personnalisation peut se résumer à deux idées fortes : 1) la personnalisation ne marche pas 2) la collecte des données personnelles est donc inutile. Il faut tout de même lire l’intégralité du papier pour apprécier la finesse de l’argumentation et pour savourer quelques punchlines bien senties (« Les algorithmes ne cherchent pas à nous distinguer, mais à nous catégoriser », « Notre personne n’intéresse personne », …)
Quelles garanties exiger des coffres-forts numériques ? La table-ronde organisée sur ce sujet dans le cadre du salon Solutions 2017 a mis en évidence le rôle clé de la certification en la matière. Un rappel nécessaire au moment où la dématérialisation du bulletin de paie favorise la généralisation des coffres-forts numériques.
Un canard qui se promène avec un couteau planté dans la tête. S’agit-il d’une photo réelle ou d’un trucage, un fake, dont la production est désormais à la portée du premier venu ? Au nombre de 460 par image les métadonnées s’avèrent précieuses pour déterminer si une photo a été retouchée, falsifiée ou si à l’inverse elle peut être considérée comme une preuve digne de confiance.
L’évènement Microsoft experiences’17 s’est déroulé les 3 et 4 octobre 2017 au Palais des Congrès à Paris autour de trois thématiques majeurs : l’intelligence artificielle, la collaboration innovante (New way of work) et la confiance numérique.
La très copieuse enquête que Numerama a consacré à la start-up parisienne Teemo permet de découvrir l’ampleur de la collecte des données de géolocalisation via des éditeurs d’applications de renom. Il est tout simplement question du « pistage de 10 millions de français »
« Des organisations qui ne savent même pas comment définir la protection de la vie privée proposent déjà de l’expertise GDPR sur leurs sites. Tout à coup, tout le monde est devenu experts de GDPR… et honnêtement, la plupart n’y connaissent rien » Le coup de gueule poussé par Sheila FitzPatrick, responsable de la protection de la vie privée chez NetApp, lors d’une conférence qui s’est tenue le 21 septembre 2017 à Dublin, est salutaire.
L’ADN possède une densité qui « lui permet de contenir un quintillion (soit 1 000 000 000 000 000 000) de bits. Plus concrètement peut-être, cela signifie que tous les films jamais tournés pourraient tenir dans un morceau d’ADN plus petit qu’un carré de sucre. »
Une instruction de la Direction générale des finances publiques (DGIFiP) du 12 juin 2017 « vise à identifier les pièces justificatives et les documents comptables dématérialisés qui sont reconnus par le comptable public et par le juge des comptes comme ayant une valeur probante. »
Avec l’essor du Big Data, « l’archivage des documents, et donc des données, prend aujourd’hui une nouvelle dimension pour les entreprises. » Pensé à l’origine pour qu’il puisse répondre aux obligations réglementaires, l’archivage d’une organisation peut aussi devenir une nouvelle source de revenus. Selon une étude IDC parue en 2015, le gain obtenu par une grande entreprise grâce au mariage de l’archivage et du Big Data serait en moyenne de 7,5 millions de dollars.