Les autorités australiennes envisagent un amendement au Privacy Act visant à interdire la ré-identification des données anonymisées par le gouvernement. L’ambition est de favoriser le recours aux traitements de données anonymes afin d’améliorer l’efficacité des politiques publiques. The Registrer estime qu’une telle règlementation pourrait avoir des effets pervers sur les travaux de recherche consacrés aux technologies d’anonymisation.
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« Le rôle d’un opérateur est de donner au client le contrôle de sa vie numérique » a affirmé le responsable de la régulation et des affaires publiques de Telefonica dans le cadre du Digiworld Summit qui s’est déroulé à la mi-novembre 2016 à Montpelliers. En proposant son « trust framework qui renforcerait le client », Orange s’inscrit dans une approche similaire.
Le décret n° 2016-1478 du 2 novembre 2016 relatif au développement de la facturation électronique est accessible sur le site Legifrance. Ce texte parait dans le contexte de l’obligation de transmission des factures par voie électronique à la sphère publique qui touchera progressivement toutes les entreprises entre 2017 et 2020.
On pourrait appeler cela le paradoxe des mots de passe : on sait pertinemment que son comportement est hasardeux mais on le fait quand même. Il s’agit d’une attitude pratiquement universelle puisqu’une étude réalisée auprès de consommateurs américains, allemands, français, néo-zélandais, britanniques et australiens met en évidence les mauvaises pratiques largement répandues en la matière. Bien des utilisateurs rationalisent cette désinvolture en se convaincant que leurs comptes personnels ne présentent pas d’intérêt pour les hackers.
Pour la Bibliothèque nationale de France (BNF), la mémoire du web représente sur une période de 20 ans, 668 Téraoctets (To) d’archives, soit 26 milliards de fichiers. Chaque année, 120 To s’y ajoutent. Du côté de la fondation américaine Internet Archive, il est question de « plus de 25 petabytes de données, dont 460 milliards de fichiers Web ».
Le code général des impôts impose, à compter du 1er janvier 2018, de nouvelles obligations de conformité pour les logiciels de caisse prévient l’avocat Eric A. Caprioli. La loi de finances pour 2016 prévoit que les entreprises doivent « utiliser un logiciel ou un système satisfaisant à des conditions d’inaltérabilité, de sécurisation, de conservation et d’archivage des données en vue du contrôle de l’administration fiscale. »
Le 24 mai 2018, le règlement européen du 27 avril 2016 sur les données personnelles entrera en application. Les entreprises disposent donc de moins de 18 mois pour se mettre en conformité avec les nouvelles obligations. L’enjeu est d’importance comme l’explique Isabelle Cantero, avocate spécialisée du domaine Informatique et Libertés : « Plus de onze droits sont désormais reconnus à la personne au lieu des trois actuels droits “Informatique et Libertés”. C’est-à-dire onze risques de sanction pécuniaire pouvant aller jusqu’à 4 % du chiffre d’affaires mondial de l’entreprise en cas de violation des obligations prescrites… ».
Le 13 octobre 2016, Syntec Numérique a organisé à Paris, en partenariat avec Neuflize OBC, un « Syntec Camp » ayant pour thème « Blockchain : transformation de nos métiers et nouveaux services ». Cecurity.com était en charge de l’animation d’un des sept ateliers, en l’occurrence celui consacré à la blockchain et à la protection des actifs numériques.
Bientôt un nouveau venu dans la famille des normes AFNOR NF Z42. Après NF Z 42-013 (archivage électronique), NF Z42-020 (Composant coffre-fort numérique) et NF Z42-025 (bulletin de paie électronique), voici qu’émerge la norme AFNOR NF Z42-026 relative à la numérisation fidèle.
La CNIL a communiqué le 26 septembre 2016 sur son site web à propos du premier label Coffre-Fort Numérique délivré à Cecurity.com.