Chiffrement obligatoire des documents stockés, accès aux seules personnes autorisées par l’utilisateur,
information claire et transparente, … : à compter du 1er janvier 2019, date de l’entrée en vigueur des deux décrets de 2018, les services de coffre-fort numérique devront faire la preuve qu’ils ont le droit d’utiliser cette appellation.
Au cours de l’automne 2018, 60 Millions de Consommateurs et Archimag se sont fait l’écho de cette mutation en publiant des articles sur les critères de choix à prendre en compte pour adopter un coffre-fort numérique. « Loin d’être un simple espace numérique accessible à distance, il doit garantir l’intégrité et la confidentialité des contenus qu’il conserve. » précise ainsi Archimag, qui poursuit : « Choisir un CFN implique donc d’être attentif à sa conformité avec certaines normes et exigences ».
60 Millions de consommateurs se félicite de l’évolution en cours : « Heureusement, le marché est en train de s’assainir avec, notamment, l’interdiction d’utiliser ce terme pour des coffres-forts… qui n’en sont pas vraiment ! ». Le journaliste de la revue consumériste pointe comme « critère essentiel la sécurisation des données et leur confidentialité. ». On ne résiste pas enfin au plaisir de citer sa conclusion lorsqu’il affirme que deux offres « semblent sortir du lot : Digiposte de La Poste et CecurCrypt », c’est-à-dire le service de coffre-fort numérique de Cecurity qui bénéficie du label CNIL.
Source :
– 60 Millions de Consommateurs : Coffres-forts numériques Mieux vaux blinder son choix
Date : Novembre 2018
Auteur : Pierre-Yves Boquet
Lien de l’article : non accessible en ligne
Source :
– Archimag : Coffres-forts numériques, le champ des possibles
Date : Octobre 2018
Auteur : Clémence Jost
Lien de l’article : non accessible en ligne
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